Humeurs Humaines - L'hebdo édito

 

Les gros titres à chaud

 

L'actu de l'hexagone

 

Nouvelles d'ailleurs

 

Les personnalités qui font et défont

l'actualité

 

Nature et défis écologiques

 

 

 

 

 

Notre revue de presse

 

Un petit tour de piste du web

 

La rubrique des accrocs de la TV

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


































































































 






























 

 

 

Entretien Filmé

- JEAN-FRANÇOIS PROBST -

Côte d'Ivoire : Autopsie d'une Crise

 

- interview et montage : Gert-Peter BRUCH - cadre : James AMON -

 

3/4 - 'EXPLOSIVE INGÉRENCE'

- par Gert-Peter BRUCH -

Dans cette troisième partie Jean-François Probst remet en cause, à grand renfort d'arguments et d'exemples, l'unanimité de la communauté internationale à reconnaître Alassane Ouattara en tant que Président élu de la Côte d'Ivoire, principal argument brandi par tous les supporters du challenger de Laurent Gbagbo. Il évoque l'implication de l'ONU, que le Général de Gaulle surnommait "le machin", dans la crise et nous informe sur Guillaume Soro, ancien premier ministre de Laurent Gbagbo et actuel d'Alassane Ouattara, qui appelle à déloger le Premier par la force.

Probst nous présente le rôle de la communauté internationale face aux problèmes d'un pays souverrain, tel qu'il devrait être, évoque la possible élimination de Laurent Gbagbo (avec le danger d'en faire un martyr) et se refuse à penser que la France de Sarkozy, les Etats-Unis d'Obama ou l'Allemagne de Merkel veulent faire un acte de guerre contre la Côte d'Ivoire. Pour lui, ce sont en rappelant que ce sont aux patriotes ivoiriens de régler cette affaire, l'ingérence ne pouvant, selon lui, que mener à une dégradation et à l'assurance d'un conflit civil.

 

>> CÔTE D'IVOIRE, TOUS NOS LIENS

Entretien Filmé : JEAN-FRANÇOIS PROBST

  Côte d'Ivoire : Autopsie d'une Crise
JEAN-FRANÇOIS PROBST
remet les points sur les "i"

 

 

-ancien conseiller de Chirac il clame que Gbagbo est plus proche
de Mandela que de Mugabe et porte
un regard distancié sur les événements

Ils sont peu nombreux en France à faire entendre un autre son de cloche que celui que font tinter à l'unisson politiques et médias (pas souvent bien renseignés) sur le conflit ouvert en Côte d'Ivoire entre Laurent Gbagbo, président reconduit par le Conseil Constitutionnel et Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, parait-il unanime (un argument qui tombe à plat dès que l'on creuse un peu). Si certains reprocheront à Roland Dumas (voir notre interview) et Jacques Vergès une partialité due à leur position dans cette affaire (ils sont tous deux avocats de Gbagbo, ce qui ne nuit cependant pas à la qualité de leur démonstration), il ne pourront faire ce reproche à Jean-François Probst, qui n'y est pas directement impliqué. Il nous a donc semblé essentiel pour le bien être de notre démocratie de faire entendre la voix dissonante de cet ancien conseiller de Jacques Chirac et Alain Juppé (alors Premier ministre), particulièrement pointu en ce qui concerne les affaires africaines.

25/03/2011 >> ACCUEIL
        

 

Archives

 

 

©CULTURCLUB.COM - Toute reproduction strictement interdite sans accord